La première école de Tergnier semble dater du 1er mai 1813.
Fin février 1814, avec le recul de Napoléon, Tergnier tombe aux mains de l’ennemi. Réquisitions, pillage sont de règle.
En 1815, après Waterloo, Tergnier est occupé vers le 25 juin, et paie un large tribut à l’envahisseur.
En compensation des réquisitions subies, nos habitants n’obtiennent, comme indemnisation, que la remise des 2/3 de la contribution extraordinaire de 1813 et 1814.
Vers 1835, un seul facteur dessert, outre Tergnier, 7 autres communes : Beautor, Fargniers, Liez, Mennessis, Quessy, Travecy et Vouël. Le rythme de distribution du courrier suit le rythme de la vie et du progrès !
Le 6 décembre 1853, les registres de l’état civil de Tergnier mentionnent une profession inhabituelle : « employé de chemin de fer ». Il s’agit de Benjamin Faucret, époux d’Octavie Dausin, 17 ans, venu déclarer à la Mairie la naissance d’une fille. Les trains se substituent aux choux pour l’arrivée des enfants !
En 1848, les ternois inaugurent leur chapelle, édifiée rue de Châteaudun.